Maxime Mahieu

Coopérateur depuis sa petite enfance, Maxime Mahieu est aujourd’hui âgé de 33 ans. Après des études de sciences éco à Namur, ce pro du secteur bancaire habite désormais avec son épouse Amandine à Couthuin, un village situé entre Huy et Andenne. Adepte des événements organisés par Cera, Maxime se décrit comme un bon vivant... Une rencontre au top pour un portrait franc et joyeux !

Quel est le meilleur conseil que vous ayez jamais reçu ? 
« Quand je disais à ma grand-mère « que c’était mieux avant », elle me répétait « la belle époque, c’est maintenant ». C’est vrai que c’est important de vivre le moment présent. Je me remémore souvent ses mots, elle nous a quittés il y a trois ans. »

Pourquoi êtes-vous devenu coopérateur de Cera ?
« Je suis coopérateur depuis que je suis enfant. Mon père a souscrit des parts lorsque j'étais tout jeune. En grandissant, je me suis intéressé à la coopérative dont les valeurs correspondent vraiment à celles que je prône. Voilà pourquoi j’ai décidé de m’y investir plus et de participer aux activités organisées. »

À quoi ressemble votre journée parfaite ?
« Un lever à mon aise sans pression, ensuite, une partie de tennis et un bon petit resto le soir avec des amis ou la famille. Je ne suis pas quelqu’un de très difficile. »

Que faites-vous pour contribuer à la société ?
« J’essaye de manger le plus bio et local possible. Nous avons un potager dans le jardin. Nous avons commencé pendant la pandémie, chaque année on l’agrandit un peu plus. J’espère qu’on aura de belles tomates. C’est sympa de cultiver ses propres légumes et ça aide à prendre conscience des enjeux de consommation. »

Avec qui aimeriez-vous partager un repas ?
« Mon épouse bien sûr... Mais sinon, je suis allé au concert des Stones au Stade Roi Baudouin, et manger avec Mick Jagger, ça pourrait être incroyable vu la manière dont il court encore sur scène à 79 ans ! Avec tout ce qu’il a vécu, j’apprendrais beaucoup de choses, on pourrait bien s’amuser ! »

Si vous étiez un animal, quel serait-il ?
« Je dirais un chien parce que mon épouse en voudrait un tandis que moi j’essaye de résister tout en sachant que je craquerai un jour ou l’autre. (Rires) Sinon, je me vois un peu comme un panda, je suis quelqu’un d’assez calme et posé. »

Qu'est-ce qui vous a ému récemment ?
« L’année dernière, notre mariage était un moment très émouvant. On a fait une grande fête. »

À quoi ne voudriez-vous jamais dépenser votre énergie ?
« Je n’aime pas les conflits. J’évite les disputes au maximum, que ce soit dans ma vie privée ou au boulot, j’essaye toujours d’apaiser les choses. »

Quel talent auriez-vous aimé avoir ?
« J’aurais aimé être plus manuel. »

Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans le quartier que vous habitez ?

« Le cadre : nous sommes entourés de bois, de verdure. C’est un endroit très apaisant. Comme nous avons tous les deux toujours vécu à la campagne, nous souhaitions nous installer au calme. »

Quelle barrière dans notre société doit absolument être éliminée ?
« Pour prendre l’exemple de la Belgique, je dirais la barrière de la langue. Il y a beaucoup d’incompréhensions. Je crois que nous gagnerions à faire plus d’efforts pour apprendre la langue de nos voisins. »

Quel est votre avantage sociétaire Cera préféré ?
« Les événements culinaires comme celui auquel nous avons participé dernièrement au château d’Ophain-Bois-Seigneur-Isaac. On y rencontre des gens sympas tout en dégustant de bons vins. J’aime aussi les événements musicaux, les concerts qui sont proposés. »

Si vous pouviez revivre un jour dans l'histoire, quelle serait cette journée ?
« Une journée au Moyen Âge. C’est une époque qui m’a toujours attiré. J’adorais le film Les Visiteurs quand j’étais petit. Mais quelques heures dans le passé, ce serait suffisant (Rires). »